Cette inefficacité, nous avons été nombreux à la vivre comme une angoisse, heureusement compensée par la gentillesse et le dévouement de nos professeurs, par la conscience que nous avions, malgré tout, d’avancer, de surmonter parfois des difficultés, d’apprendre des choses intéressantes. Et puis il y avait le jeu pendant les récréations, la camaraderie, l’amitié, le merveilleux sentiment d’être dans une classe, d’appartenir à une communauté solidaire.
Mais l’angoisse, elle était là ! Certains parvenaient à la surmonter, mais d’autres, s’y noyaient.
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